Je demande à Bose : « quel est le trait d'union entre le vaste infini déjà réalisé derrière nous et l'autre infini en puissance devant nous ? » Il me répond : je crois que l'homme, tout comme les lueurs de magnésium, devrait pouvoir pénétrer jusqu'en bas des abîmes les plus profonds et s'envoler jusqu'au ciel les plus insaisissables, sans que rien puisse l'entraver dans sa course. Nous devrions traverser la vie en bondissant d'une expérience à l'autre sans trouver nulle part de chaînes ou de barrières, c'est cela qui est la liberté.